[RP Groupe] GOLD ZOMBIE

salut Tim
je crois qu'un membre de plus ou de moins dans notre petite troupe ca ne fera pas de différence.

"Bah du moment qu'il ne veut pas m'envoyer en désintox je n'ai rien contre sa venue."

Mafime se gratte la barbe et dit en baissant la tête:

"Je me demande bien ce qui nous attend derrière cette porte, surtout que seul SuperFranois était invité."

(en effet seul Franois était invité mais bon si on fait la remarque Savana va s'empresser de briser cett porte a coup de pied et d'entrer ) Tim voici deux cachet pour les maux de tetes prend les et n'oubli pas ne partage jamais tes médocs avec Mafime

Superfranois marmonna quelques jurons et cracha par terre, l'air dégoûté.

(Que peut il bien se cacher derrière cette porte ? Une seule façon de le savoir !)

Superfranois sortit son SUPER lance pile, visa la porte et tira. Ayant fait cela, il sortit son sabre, courut vers la porte et enfonça son arme dans la porte, qui était déjà endommagé par l'impact de la pile.
La porte était entièrement défoncé.

- Allons y !

(Qu'on en finisse...)

L'Eglise était vide et silencieuse... Trop silencieuse.

- Étrange... *pensa -t- il tout haut*puis *au reste du groupe* Ratissons toute l'Eglise mais restez vigilant !On ne sait jamais...

La troupe se dispersa, certains regardaient des statues, d'autres regardaient dans les différentes chapelles. Rien. Mais soudain, une voix sortit d'on ne sait où, fit trembler le sol, une voix qui dès le premier instant, donna la chair de poule...

mon dieu on a affaire à un géni ,soupira Fire

En entendant cette voix Mafime se sentit mal, cette voix était effrayante. Il fit quelques pas pour se retrouver derrière Savana.

Tant que je suis près de la chef je suis en sécurité, la chose qui en viendra à bout n'est pas prête d'exister.

Ils sont plusieurs et ils vont nous tirer dessu ,chuchota Fire, va falloir tirer en premier

- Ils n'attaqueront pas !*répondit il d'un ton sec*puis*assez fort pour que tout le monde puisse l'entendre* Pas vrai Petit frère ?

On vit un mouvement sur le plafond, puis une masse tomba sur l'autel. Elle bougea et une formes humaine se dessina. Elle descendit les marches d'un pas lent, tout en applaudissant, tout aussi lentement.

- Le traître est donc de retour parmi nous ! lança l'homme. Et on dirais bien qu'il s'est fais de nouveaux amis ! Leur as tu au moins raconté ce que tu as fais ? Mais bien sûr que non bien entendu, car tu n'acceptes pas la vérité !....

Le regard de Superfranois s'embrasa. Il serra la main de Beth à lui en briser les os.

- Tu as laissé tes amis, ta famille après avoir commis l'irréparable ! Tu t'en souviens j'espère !Je veux te l'entendre dire !*aboya -t- il*

- Jamais ! *s'emporta Superfranois*

- Alors, tu ne me laisses pas d'autre choix que de raconter, à tes amis l’abomination que tu as faite... *marque une pause* 3 ans... Et pourtant je m'en souviens comme si c'étais hier... Après le départ d'Angélique, d'autres personnes ont essayé de t'empêcher de partir... Pourtant, tu n'as rien voulu entendre... Trop obstiné... Qui t'as conduis à t'enfuir après avoir tué l'homme qui t'as tout donné, qui t'as le plus aimé !*hurle dans un silence religieux* TU AS TUÉ TON PROPRE PÈRE !

Les membres de l'Abri restèrent là stupéfiaient.

- Qu'on en finisse...

A cet instant, une pluie de balles s’abattit sur nos héros...

*Fire dégaina maldroitement un grenade fumigène, il s'en mit plein les yeux mais réussi a brouillé la vision de la maudite secte * AIE!!!

Mafime profita de la fumée pour courir vers la porte par laquelle tous étaient arrivés, il entendait les balles fuser dans tout les sens et priait pour ne pas se faire toucher, il réussit à atteindre la sortie, c'était un miracle ! Un grand sentiment de soulagement l'envahit quand il franchit le seuil de la porte, mais à ce moment il sentit une grande douleur dans son épaule gauche avant de s'effondrer dans la rue. Une balle l'avait touché mais il était tout de même content d'avoir sorti Mr Jingles de là.

Je ne suis pas comme Franois, je ne suis pas un assassin, si je meurs je n'aurai aucun regret...

Puis à ces pensées Mafime s'effondra, il perdait du sang rapidement.

*Fire sortit en toussant * oh la vache je voit plus rien Mafime? MAFIME *Fire sortit un scalpel et inçisa la plaie pour extraire la balle * oui je sait ça fait mal mai bon...

Mafime hurla alors que Fire lui trifouillait son épaule, la douleur était intense, il n'allait pas tarder à reperdre connaissance.

"ARRETE !!! je... je ne veux pas... mourir..."

Puis il reperdit connaissance.

Mr Jingles de son côté alla jusque la sacoche de Mafime dans laquelle il disparut une petite minute, puis il ressortit avec un paquet dans son museau. Le gros rat se mit à courir en direction de la porte d'entrée et entra dans l'église, bien qu'il ne voyait pas grand chose et que des bruits assourdissants l'apeuré, il courru en direction de SuperFranois et lui donna le paquet.

Il était planté là. Il ne pensait plus à rien. Il n'entendait plus rien. Une seule image se matérialisa à son esprit : celle de son père...
Superfranois sortit de sa somnolence éveillé. Beth avait couru vers lui et s'était jeté sur lui pour le protéger des balles. Ils se placèrent derrière un pilier. Superfranois sortit son lance pile, y plaça cinq piles, et commença à viser, quelque peu à l'aveuglette, mais il visait.

Il entendit le déclic qui indiquait qu'il n'y avait plus de pile dans le chargeur. Ses réserves étaient à sec...

(Pas maintenant !...)

Comme par miracle, il fit le bon vieux compagnon de Mafime arriver avec un paquet sur le dos que Superfranois s'empressa de prendre et y découvrit des piles... mais des piles bleues !

*murmure avec un sourire*- C'est un bon rat ça, en lui tapotant la tête.

*Superfranois place cinq piles bleues dans son chargeur, vise et tire. Un bruit phénoménal sortit du SUPER lance pile. La pile sortit avec une vitesse prodigieuse et elle explosa*

(Si je sors vivant d'ici, je demanderai à Mafime où il a eu ces SUPER piles)

Spoiler:

*Des détonation retentisait depuis l'église* Mafime réveille tout tu est tout soigné reste ici juste le temp que Sav' et Franois calme la situation

Mafime reprit conscience et son épaule le faisait souffrir, il se rendit compte qu'il n'avait plus son T-shirt et qu'un bandage lui recouvrait l'épaule. Il se releva, sa tête tournait, sans doute à cause de tout le sang qu'il avait perdu pensa-t-il. Il prit son sac de son bras encore valide et regarda l'église.

Hors de question que j'y retourne, c'est trop dangereux. En plus si Franois est vraiment un tueur il ne mérite même pas que je retourne l'aider.


"Bon il ne me reste plus qu'à retrouver ce satané bus"

Puis Mafime s'éloigna de l'Eglise, il ne pensait plus qu'à être en sécurité et surtout à pouvoir se droguer en toute tranquillité.

Les piles de Mafime avaient fait leur effet. Après avoir déchargé 4 des 5 piles bleues, Superfranois, Beth, Savana et Fire se retrouvait seul face à l'homme.

Superfranois était exténué. Il ne pensait plu, sa tête tournée et ses jambes ne le maintenaient que difficilement en équilibre.
L'image de son père réapparue. Plus intense, plus nette qu'au par avant.
Il se sentit projeté dans son passé par une force hors du commun qu'on ne peut pas imaginer.

Il n'était plu qu'un bébé dans son landau. Une voix douce se faisait entendre.


- Vois notre fils comme il est beau ! 

Une paire de mains vinrent prendre Franois et il se retrouva dans les bras d'un homme qu'il ne pouvait pas s'empêcher d'aimer.


- C'est vrai qu'il est beau ! Un jour, il aura la barbe de son père !


Et cette vision se dissipa dans le souvenir d'un fou rire.


Superfranois essayait de lutter pour ne pas être en proie à ces visions.
Beth voyait bien que son ami n'était pas dans son état normal. Elle lui serra la main et lui dit doucement :

- Laisses toi aller. Libères ce que tu renfermes en toi depuis si longtemps... Libères toi...

Superfranois essaya de se détendre.


(J'ai peur de me souvenir... Peur de revivre ça...)


Pourtant une partie de lui voulait quitter ce fardeau. Une nouvelle vision l’étreignit.

Il était petit. Juste un peu plus grand que le genou qui lui faisait face.
Instinctivement, Franois baissa les yeux et il vit ce ballon.


- Tu es près ? *tape dans la balle fort avec son pied qui s'envole très haut et très loin*


- C'est trop loin papa !


*d'un ton joyeux* - Alors qu'est ce que tu attends ! Cours le chercher !


Et d'un bond, le petit garçon qu'il était couru chercher la balle.
C'est que c'était loin... Un coup de feu !
Franois se retourne. Deux hommes en noir quitte le jardin d'un pas pressé.


- Papa ? cria -t- il au loin.
Il ne le voyait plus.


Il courut en direction de là où on lui avait lancé le ballon.
Du sang. Le corps inerte de son père.


- Papa, arrêtes de dormir !


Les yeux vides de son père le regardaient.


- PAPA ? PAPA ?


A cet instant il comprit. Il s'agenouilla et prit son, père dans ses bras !


- MAMAN !!! MAMAN !!!


Un coup de feu. Un hurlement.


- Fuis mon chéri... Fu...


Silence.


Il regarda Beth. Mais ce n'était qu'un lointain visage.

Une maison. Un enfant. Un homme. Une femme. Une table. A manger.
Une claque qui part.

- Je t'ai éduqué comme mon fils, sale petit ingrat ! Et tu voudrais partir lutter contre on ne sait quoi ! JAMAIS !
Franois arrête le poing. Il est enragé. Un couteau à la main. Il perce. Il s'enfuit.


(Il n'était pas mon père. Je n'étais pas son fils.)




Et tout lui revint en mémoire. Il fixa le jeune homme qu'il avait dû prendre comme un frère.
Mais non. Il le savait. Tout se jouait maintenant.

- A NOUS DEUX FRANOIS !

Ennemi était resté passif bien trop longtemps, la situation le dépassait, Franois avait des comptes personnels à régler avec cet homme. Il était certain que son ami était capable de gérer la situation malgré son trouble, son inquiétude était désormais portée sur les hommes encapuchonnés qui c'étaient déployés dans un large périmètre autour d'eux. Ennemi avait profité de la discussion entre Franois et l'inconnu pour s'éclipser discrètement pour contourner leurs agresseurs. La fusillade éclata avant qu'il n'eu le temps de se mettre en position, l'intervention de Mafime avec son fumigène lui donna le temps nécessaire pour neutraliser le flan gauche de l'ennemi et ainsi assurer la sécurité de ses compagnons qui avaient trouvé refuge derrière les colonnes de l'édifice. Les hommes encapuchonnés n'étaient pas expérimentés dans l'art du combat à main nue et encore moins dans celui des armes à feu.

De son coté Beth tenait la main de Franois qui avait l'air sous le choc, la gamine de l'abri lui chuchota quelque chose qui ne sembla pas réveiller le Franois que tous le monde connaissait, mais après de longues secondes, son regard repris toute son intensité, il ne resterait plus longtemps inactif...

Ayant reprit ses esprits, Superfranois lâcha la main de Beth. Il se retourna ensuite vers les membres de l'Abri :

*d'une voix forte* Partez maintenant. C'est un combat que je dois mener seul.

Beth allait répondre mais Ennemi lui prit la main et l'emmena vers l'extérieur de l'Eglise. Sur le seuil, il lança un regard à son ami. Superfranois le regardait d'un air entendu mais Ennemi perçu dans ce regard un sentiment d'au revoir, comme si ce qui allait suivre allait changer la vie de l'un et de l'autre de manière définitive.

Savana sortit elle aussi pour rejoindre Fire et les autres et s'étonna de ne pas trouver Mafime. Avant de partir, celle ci lança sans se retourner :

- On se revoit tout à l'heure mon canard !

Et elle s'éclipsa, refermant la porte derrière elle.

Il y eut un très long silence. Superfranois fixait l'homme sans rien laisser transparaître.
Puis l'homme prit la parole :

- Après avoir attendu pendant de longues années pour préparer ma vengeance *fait une pause*  tu vas enfin payer. Ah ! Si tu savais... Ça n'a pas été simple de te retrouver ! J'ai dû  patienter très longtemps pour retrouver ta trace.
Mais j'ai reçu cette visite. 

*Il part dans un rire très fort et commence à faire les cent pas*

- Tu ne devineras jamais qui était venu jusqu'à moi ! *s'arrête et regarde Superfranois* Mais ne fais pas la tête voyons, je vais te le dire ! C'était Sam !

Le visage de Superfranois resta vierge de toute expression.

(Il ne cherche qu'à me déstabiliser... Mais si ce qu'il dit est vrai... Pourquoi ?)

Il n'attendit pas longtemps pour avoir la réponse.

- Il m'a donc dit qu'il était envoyé pour tuer un homme... Toi ! Tu imagines ma tête ? Je ne pouvais pas être plus heureux ! On venait d’intercepter un message disant que tu allais avoir un élève ! Ce que je viens faire dans l'histoire ? Sam cherchait quelqu'un qui avait des hommes à sa disposition. Ceci fait il commença à réfléchir  à un prototype de robot sous les traits d'un .
C'est ce qui tua... *semble hésiter* Comment s’appelait-il déjà ?... Peu importe !...
La seule chose que j'ai demandé en compensation de mon aide, c'est que tu périsses de ma main une fois que tu serais venu à moi ! Chose facile en ressortant une vieille légende urbaine...

(Ce cinglé ne s'arrête donc jamais de parler !) 

*crie presque d'une manière ironiquement étonnée*- Et où es tu aujourd'hui ? *lève les bras et tourne sur lui même* ICI ! Servi sur un plateau pour mourir ! *prend un air sérieux mais garde un sourire sarcastique* Mais arrêtons de parler veux tu ! Je suis là pour te tuer, tu es là mourir, QUE LA CHASSE COMMENCE !

Il se retourna et dégaina un pistolet, puis sans crier gare tira sur Superfranois.

(Et merde...)

Il courut se cacher derrière un pilier.

- Ça ne sert à rien de se cacher ! 

Que devait-il faire ? Un sabre et un lance pile munie d'une seule pile bleue, voilà ce qu'il avait pour combattre contre un pistolet.

- Coucou !

En ayant trop réfléchi, l'homme était juste à côté de notre héros, pistolet braqué sur lui.

Sans réfléchir, Superfranois lui décocha un coup de pied dans le genou. Son adversaire perdit l'équilibre et tira. La balle alla se loger dans la cuisse de Superfranois. Il tomba en hurlant.

- S'en est fini de toi !

Le canon était à une vingtaine de centimètres de la tête de Superfranois. Il y eu un déclic et rien. Plus de balles.

*s'énerve* - Oh non ! 

Superfranois toujours à terre, décocha de nouveau un coup de pied dans la poitrine. Les deux hommes étaient désormais au sol.
Un combat s'annonça alors. Superfranois se hissa sur son agresseur pour le neutraliser. Celui ci fit un mouvement pour se retourner et Superfranois était maintenant sur le dos.

Il sentit des mains lui agripper fortement le cou et il commença à suffoquer.

- Tu vas mourir !

Superfranois commençait à voir trouble et il n'avait plus la force de lutter. En reposant ses mains il sentit dans sa poche un objet pointu.

(Il était là depuis tout ce temps ?...)

Un coupe papier ! Il le cherchait depuis des années. Mais il n'avait plus la force de le prendre.

(Je ne veux pas mourir, je ne veux pas !)

Dans un ultime effort, il brandit l'arme et le planta dans le ventre.
L'étreinte se relâcha d'un coup.

Superfranois resta allongé pendant de longues secondes, retrouvant enfin de l'air dans ses poumons.
Il se releva et s'engagea difficilement vers la sortie. La balle dans la jambe lui faisait atrocement mal et il avançait centimètre par centimètre.

- Tu crois... que... que c'est fi...ni ? Tu crois... que... tu v... vas t'en sortir ? Je ne mourrai pas... sans toi... Nous all...ons mourir... tous les deux.

Superfranois se retourna par saccade qui lui était insupportable et regarda son ancien frère.
Il avait la chemise rougeâtre à l'endroit où la lame du coupe papier avait percé, un boitier dans la main.

Les yeux s'écarquillèrent en voyant le boitier.

- Adieu... Frère... BOOM...

Et il appuya sur un bouton du boitier. Un bruissement. Un clic.
Superfranois, au milieu de la nef, se tourna vers la sortie et commença une course au ralenti.


Cela faisait une grosse demi heure que les membres de l'Abri attendait en bas de la rue qui menait à l'Eglise.
On entendit un bruit. Une explosion.

En pleine discussion, les voix s'arrêtèrent, les visages se figèrent et les regards se tournèrent vers l'Eglise en flamme.
D'une rapidité incroyable, Beth s'élança vers l'édifice, les autres aux talons.

En arrivant à proximité, elle découvrit un corps inerte sur le sol.
Elle eut alors un cri d'effroi et s'écroula en pleurs sur les pavés de la rue.
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Un téléphone sonne. On répond.

- C'est bon. C'est fini.

On raccroche.

On entend un tiroir de bureau qui s'ouvre. Quelque chose qu'on ouvre.
Une jeune fille ouvre un dossier.
En s'amusant avec une mèche blonde, elle regarde la photo laissée là. Puis à côté d'un nom, elle écrit avec un stylo rouge sur un rapport. L’œil avisé aura vu avant que le dossier soit refermé et replacé dans le bureau   :

Étrange de revenir en ses lieux après tant d'années... Il ne reste que des ruines de ses ruine. Un silence de morts et pourtant tant de souvenirs qui résonnent.