Salut à tous, moi c'est Alex (Ou Alexandre), 19 ans, vivant à Clermont-Ferrand et demandeur d'emploi à Pole emploi (mais c'est la galère quand on a seulement un bac mi générale mi technologique...)
Je n'ai pas beaucoup de passion, si ce n'est les jeux, le savoir et le surnaturel. (Et les zombies bien sur)
D'un naturel plutôt insociable, sur les jeux je suis une vrai piplette.
Alors maintenant parlons de Hordes : J'ai commencé à jouer à ce jeu lors de la version 1 et 2, puis avant la version trois j'ai arreté. Pourquoi je suis revenu? Car le jeu me manquait, puis il faut dire que j'ai lu : "La Forêt des damnés" de Carrie Ryan récemment ce qui a évoqué en moi le besoin de retrouver un thème apocalyptique.
Me voila donc avec un nouveau compte (0 point d'ame), où je vais essayé d'etre un maximum héros (Actuellement je teste le technicien, qui est pas mal pour les chantiers) Je suis autant ouvrier qu'explorateur, en fait tout depend de mes disponibilités (et il suffit d'un ou deux amis pour ne plus avoir par moment de disponibilité)
Actuellement célibataire (Couple perdu y'a 3 semaines, un an et demi qui s'effrite..) je recherche un beau male zombifié
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Venezzz, Vennnneeeezzzz me rejoindre Si vous avez des questions, posez les je répondrais
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Sur ce il est temps de passer à autre chose : Le Roleplay. Voici mon histoire, bon courage pour la lire, entre les fautes d'orthographe, la longueur et les incohérences possibles... (je m'en excuse d'avance) J'espère qu'elle vous plaira
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] :
Cela fait combien de temps, que l'humanité est perdue et que les zombies ont prit le dessus sur les hommes? Des années, des mois... je ne sais plus.
La vie était si simple avant, j’étais un jeune prêtre exorciste et je permettais aux âmes tourmentés de confesser leurs péchés ainsi que de permettre aux âmes de reposer en paix.
Mais que sont ces zombies? Une création de l'homme ou l'incarnation du diable dans sa forme la plus perfide et vicieuse qui soit? Je ne sais pas... Je ne comprend pas... Pourquoi dieu nous abandonne t il ainsi?
Serait-ce ainsi que doit se passer l'apocalypse? N'etait il pas censé y avoir les quatres chevaliers de l'apocalypse ralliant la mort, la guerre, la famine et la peste?
Mes pensées sont floues... Je ne comprend toujours pas pourquoi ce monde est sur le point de s'eteindre. Tout ce que l'on m'a apprit serait il faux? Qu'importe. Il y a des choses bien plus occupantes que cela.
Lorsque les hordes de zombies ont commencé à apparaitre dans les grandes villes, j’étais à l'abri de ces abominations. En effet je vivais dans une petite campagne reclus de la société. J'avais succédé à l'ancien père qui habitait cette petite église rurale, dont les vitraux ont plus de 600 ans et qui commençaient à ternir, ses bancs en bois qui avaient pris l'habitude d'avoir les mêmes personnes revenir chaque dimanche.
Et pourtant, une fois notre petit village prévenu, je n'ai rien pu faire pour éviter le vacarme. C’était la panique partout, certains décidèrent de partir loin de la civilisation, dans les terres d'Afrique ou d'Asie, à la recherche d'un ultime espoir qu'ils ne pouvaient trouver en Dieu, d'autres se mirent à prier plus fort, par crainte de la mort, des enfers et de la colère du seigneur. Enfin les derniers se retournèrent contre Dieu même et l'église.
Les morts vivants sont contre nature, ils n'ont pas leur place parmi le monde des hommes, et ainsi je peux comprendre leur déception. Imaginez vous des années de croyance, de foi et de passion pour le seigneur se réduire à néant à cause d'un événement inexplicable. Alors ces brebis égarés se mirent à rompre leur vœu en Dieu et à l'humanité. Le vol, le viol et les agressions se multiplièrent assez pour que le village se détruise en l'espace d'un mois.
J’étais le prêtre de la ville, et pourtant je n'ai rien pu faire. J'avais beau essayé, je ne pouvais pas les résonner, et alors que c’était mon devoir de les aider et de veiller sur mes partisans jusqu'à ce que ces monstres issus d'on ne sait où arrive jusqu'à nous. Mais j'ai lâchement fuis.
Mon village était déjà presque mort, il n’était que l'ombre de lui même, il n'avait aucune chance de survivre à l'attaque de ces êtres hideux. Moi, je voulais simplement vivre, je voulais sauver mon âme et aider ceux qui souhaitaient également la sauver de cette infamie. Mais comprenez que ma paroisse n'avait qu'à la fin plus que des fervents vieillards aux chances de survie trop faible, ils ne pouvaient à peine fuir et leur mort aurait très bien pu être naturelle avant même que le moindre zombie ne puisse les apercevoir.
Ainsi j'ai pris des affaires utiles, de quoi me défendre, des vivres, et j'ai marché droit à l'horizon, dans la forêt, où personne ne pourrait m'y trouver.
De plus en plus les jours passaient et de plus en plus je croisais des personnes qui tout comme moi, avait l'espoir de vivre. C'est ainsi que naquit le premier village, dans une forêt luxuriante, ou la nourriture, l'eau et le matériel n’était pas un problème. Alors il fut simple de se créer des barrières, de s'organiser entre concitoyens. C'est comme ça que j'ai appris certains aspects du métier de technicien, j’étais assez doué pour les travaux de tout genre, et c'est pourquoi c’était ma tache principale.
Au fur et à mesure, nous étions une 30 ene dans notre petit groupe d'infortune, et ainsi nous vécurent des mois et des mois ensemble. Les liens que nous avons tissé entre nous etaient si important... En même temps, les zombies rodaient dans la forêt et le fait d'avoir la mort à notre porte nous pousse à une humanité et une solidarité incroyable.
Finalement, ce qui causa notre perte, ce fut la dégradation de la vie terrestre. Les arbres commencèrent à faner, comme toutes les plantations naturelles qu'il pouvait y avoir. Le sol s'est mis à se craqueler au fur et à mesure, le sable nous envahissait. La nature était morte, et nos espoirs s'envolèrent en même temps.
L'eau de source dans laquelle on puisait était devenu impropre à cause de ce changement trop brutal bien que progressif de la forêt. Les dernières personnes qui ont essayé de boire directement dans cette eau en sont mort sous mes yeux. Alors quand même la nourriture commence à manquer, la solidarité s'estompe pour les plus inhumains d'entre nous, la perfidie revient et la mort nous rattrape.
Moi et deux ou trois personnes, on a essayé de fuir tant que cela était possible et avant même que les humains au comportement agressif nous remarque, en emportant quelques provisions et accessoires.
Nous avons marcher tant de temps, fuis à tellement de reprises, nous nous sommes tant battus.
Finalement au bout d'un temps, je ne saurais dire combien de jour, il ne restait plus que deux personnes sur notre lot. Moi, et un jeune homme avec qui j'avais tissé le plus de lien depuis mon arrivé au village de la forêt. La tristesse et le chagrin d'avoir perdu les autres compagnons se lisaient dans nos visages, mais on continuait à marcher, en espérant voir un autre village réactif avec la capacité de nous héberger et de nous faire vivre. Les jours continuaient, et heureusement pour nous,les morts vivants n’étaient pas si nombreux sur notre chemin, bien qu'il fallait à tout instant faire preuve d'une extrême vigilance.
Jusqu'au jour ou nous avons aperçu au loin un village qui semblait être pourvu de tout ce que nous souhaitons. Alors nous avons vu un brin d'espoir renaitre dans nos yeux. Nous avons couru tous les deux, le sourire haut et quelques larmes ont même traversé ma joue. Mais c'est alors que notre manque de vigilance nous a ramené à la dur réalité.
Nous nous sommes fait mordre tous les deux par des zombies, et je peux vous assurer que leur morsure est des plus désagréables qu'il puisse y avoir sur cette terre. Une fois que nous avons réussi à nous débarrasser des indésirables, il a fallu faire un choix. Un seule bandage en réserve et un seul paracétoide, dont les attributs avaient été démontrés au sein de notre ex village qu'il bloquait l'infection.
Mon camarade sourit, puis me dit cette phrase : "
Promet moi de vivre, je n'en peux plus de me battre, je sais que toi tu as encore la volonté de vivre, et à vrai dire, je ne voudrais vivre sans ta présence, car tu es depuis trop longtemps la seule compagnie qui m'a été permis d'avoir et je t'en remercie."
Alors que des larmes coulaient de mes yeux, il continua : "
Je veux que tu aides les gens, ne renonce pas en ta foi, Dieu n'a pu renoncé à l'homme, la foi, la croyance, la religion est un attribut de l'homme, et y renoncer serait renoncé à une part d'humanité. N'est-ce pas l'ame qui nous différencie des morts vivants? Les morts vivants ne doivent plus avoir d'âme, alors prend ce bandage et cette drogue pour survivre, fais le pour moi je t'en conjure."
Je fis ce qu'il demandait tout en pleurant sur mon sort, je n'arrivais pas à me faire à l'idée que j'allais me retrouver à nouveau seul, sans cette chaleur humaine apaisante et enivrante. Vint enfin le moment le plus détestable qu'il puisse y avoir dans la vie, celui de tuer son compagnon. Lui me souriait, il voyait un espoir en moi, alors je bénit son ame et fit en sorte qu'il repose en paix, et qu'aucune infection ne puisse le faire réouvrir les yeux.
Je marchais jusqu'au village, et c'est ainsi que je vous connu. Mon sort était entre vos mains, mon avenir ne dépendez plus que de vous. Toute personne a son récit, son aventure, son chagrin et sans doute ses rêves.
Moi quand j'y repense, ma petite église rurale me manque ainsi que ses concitoyens, ces petits vieux qui avaient encore la foi en Dieu, et même ces quelques jeunes à qui la religion avait encore la place dans leur coeur. Je me demande maintenant à quoi ressemble tous les endroits auxquelles j'ai vécu et ce que sont devenus toutes les personnes que j'ai connu. Et quand je repense aux moments de joies de mon ancien village de survie, je me dis que mon ancien compagnon avait des sentiments pour moi, et qu'au final, moi aussi j'en avais pour lui...